Clem qui court au DLTDC Penthouse : quand le trail rencontre le jeu vidéo !
Le DLTDC Penthouse, un événement à vivre du mardi 26 août au dimanche 31 août.
À Chamonix, fin août, Les coureurs affluent, les barrières se montent, les histoires de champions s’écrivent au pied du Mont-Blanc.
Et pendant que la ville bruisse de tension, on a ouvert un lieu à contretemps. Suspendu au-dessus du l’agitation : Le DLTDC Penthouse.
Un lieu un peu secret, hors du bruit, où l’on se retrouve pour parler, rire et réfléchir autrement. Ici, pas de chrono, pas de classement : seulement des voix, des histoires et des partages. C’est notre bulle, notre façon d’écrire un chapitre de l’UTMB.
Et cette année, une évidence s’est imposée : il nous fallait inviter Clément Deffrenne alisas Clem qui court, en podcast !
🎬 Le tournage de l’épisode aura lieu le jeudi 28 août à 9h30 au DLTDC Penthouse et vous pourrez bien sûr y participer. Les places sont limitées, plus d’informations dans cet article !
Pourquoi lui, pourquoi maintenant ?
Clément Deffrenne n’a pas de passé d’athlète d’endurance.
Pas de club d’athlétisme , pas d’entraîneur, pas de jeunesse passée à tourner sur piste. il s’est simplement mis à courir un jour, sur l’île Maurice, à la fin d’un mémoire de fin d’études. Pas pour faire une perf. Juste pour découvrir les paysages.
Quelques mois plus tard, il s’inscrit à sa première course : un 50 km. Toujours sans plan, sans pression. Mais l’expérience déclenche quelque chose.
Il aime le format, l’ambiance, les gens. Et surtout, il sent qu’il est capable d’encaisser les km et le D+. Très vite, il enchaîne. Il apprend. Il progresse.
Et en parallèle, il commence à filmer, à poster, à détourner les codes du trail avec les siens : ceux du gaming, des “kill cams” et du montage vidéo. À ce moment-là, personne ne le voit venir. Il n’a ni notoriété, ni sponsor, ni réseau dans le milieu.
Mais il a deux choses rares : une vraie capacité à encaisser du volume et une manière neuve — et profondément personnelle — de raconter ce qu’il vit.
Une autre façon de raconter le trail
Il y a dans les vidéos de Clem qui court, une signature facilement identifiable . Un ton décalé, un humour du nord , des effets visuels empruntés aux jeux vidéo, et une narration ultra-codée qui parle d’abord à ceux qui sont de la même génération que lui.
Il ne commente pas ses courses : il les joue.
Mais sans jamais trahir ce qu’il vit. Et c’est précisément ce décalage assumé — entre la rudesse du trail et le style presque cartoon de ses contenus qui crée l’adhésion.
Clem, c’est l’anti-format.
Et dans un milieu souvent marqué par la solennité, ce regard nouveau est reçu comme une bouffée d’air par beaucoup.
Surtout, il arrive avec ses codes à lui : ceux de la culture YouTube. Il ne cherche pas à faire “comme les trailers”. Il fait comme lui et le trail suit.
Pendant longtemps, l’ultra était raconté sur le ton de l’héroïsme : solitude, silence, douleur noble.
Clem y ajoute des références pop, de l’auto-dérision, une narration très codée… et pourtant plus accessible que jamais.
Il ne cherche pas à faire “sérieux” pour être crédible. Il fait juste ce qu’il vit, avec ses mots, ses images, sa culture et ce naturel plaît. En quelques mois, il a attiré un public jeune, connecté, souvent extérieur au monde du trail.
Sa trajectoire parle aussi de ça , D’un sport qui s’ouvre à d’autres récits, d’un modèle de coureur plus hybride et d’une montagne qui peut rester exigeant sans devenir excluant.
Clem n’a pas trahi l’esprit du trail. Il l’a juste raconté autrement.
Des jambes, pas qu’un algorithme
Ceux qui le découvrent sur Instagram et Tiktok pourraient croire à une blague bien montée.
Mais les chiffres, eux, ne mentent pas.
En mai 2024, Clément Deffrenne termine 4e de l’Ultra Terrestre à La Réunion. Une course monstre : 224 kilomètres, 14 000 mètres de D+, 48 heures d’effort — seul, sans assistance pro, avec une caméra et un mental bien accroché. Pas une anomalie. Juste le résultat d’un entraînement qu’il prend de plus en plus au sérieux.
Son UTMB Index ? 668 points en catégorie 100 M+. Clem n’est pas un créateur de contenu qui court : c’est un coureur qui raconte.
Et son corps, lui, ne triche pas. Il encaisse. Il apprend. Il se structure. Derrière les killcams et les punchlines, il y a un plan, une discipline, un engagement.
Et ça, les marques l’ont bien compris. Pas étonnant, alors, que la marque Brooks ait décidé d’en faire son ambassadeur. Parce que Clem, c’est un peu la promesse d’un trail nouveau : exigeant, mais décontracté. Sérieux, sans jamais se prendre trop au sérieux.
Le rendez‑vous au Penthouse
👉 Le jeudi 28 août à 9h30, Clem prendra place au DLTDC Penthouse pour un podcast que nous voulons libre, intime et électrique.
Imaginez la scène : un toit perché au-dessus de Chamonix et Clem qui nous raconte, en direct, comment il construit ses récits, pourquoi il a choisi de mêler trail et gaming, et ce que signifie, pour lui, vivre le sport autrement.
*Un instant qui se prolonge autour d’un cocktail et d’échanges conviviaux, avec une carte signée par NÄAK, partenaire nutrition officiel du DLTDC Penthouse.
Les inscriptions ouvrent le 18 août. Et croyez‑nous, les places risquent de partir aussi vite que ses vidéos deviennent virales !
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Avec son humour, son authenticité et son concept Kill Cam, Clem qui court a bousculé les codes du trail. Entre vidéos virales et exploits — dont un Ultra Terrestre de 224 km — il incarne la nouvelle génération de coureurs. Rendez‑vous jeudi 28 août, de 9h30 à 11h30, au Penthouse DLTDC pour un podcast libre, intime et électrique.